Yoyogi Hachiman / A l'heure Odakyu
Yoyogi Hachiman est une station de train qui se situe sur la ligne Odakyu... et tout prêt de Yoyogi Uehara, où je réside. Comme c'est tout le temps le cas à Tokyo, la vie du quartier se développe autour de la gare. On trouve ici de petits magasins de vêtements, un café Doutor, et quelques restaurants pas piqués des hannetons.
La voix ferrée n'est pas enterrée, on se retrouve donc avec un passage à niveau en plein milieu de la ville. Rares sont ceux qui empruntent la passerelle, et le matin, aux heures de pointes, les barrières sont souvent baissées. Un embouteillage de piétons, cycliste et automobilistes se développe donc pendant une dizaine de minutes, puis les barrières se relèvent un instant, et la foule s'écoule alors dans la rue. Se forment de longues colonnes de salariés qui se rendent au bureau.Ce passage protégé est une sorte d'artère aorte.
Je passe par là tous les matins pour aller au travail. J'ai remarqué que quand il faisait beau, les barrières se relevaient très souvent, parfois une vingtaine de secondes avant de commencer à redescendre. Mais quand il pleut, les trains passent les uns après les autres. Non content de pédaler sous la pluie, je dois en plus poireauter.
C'est le principe de la double peine.
J'ai pris la flotte aujourd'hui encore, ces temps-ci ça n'arrête pas. Vous l'aurez remarqué, mon moleskine n'a pas été épargné. J'espère que vous appréciez les effets "aquarelle" ^^
La voix ferrée n'est pas enterrée, on se retrouve donc avec un passage à niveau en plein milieu de la ville. Rares sont ceux qui empruntent la passerelle, et le matin, aux heures de pointes, les barrières sont souvent baissées. Un embouteillage de piétons, cycliste et automobilistes se développe donc pendant une dizaine de minutes, puis les barrières se relèvent un instant, et la foule s'écoule alors dans la rue. Se forment de longues colonnes de salariés qui se rendent au bureau.Ce passage protégé est une sorte d'artère aorte.
Je passe par là tous les matins pour aller au travail. J'ai remarqué que quand il faisait beau, les barrières se relevaient très souvent, parfois une vingtaine de secondes avant de commencer à redescendre. Mais quand il pleut, les trains passent les uns après les autres. Non content de pédaler sous la pluie, je dois en plus poireauter.
C'est le principe de la double peine.
J'ai pris la flotte aujourd'hui encore, ces temps-ci ça n'arrête pas. Vous l'aurez remarqué, mon moleskine n'a pas été épargné. J'espère que vous appréciez les effets "aquarelle" ^^